30.4.09

21 avril, 21h30, Nawashibari, le silence

"Notre mission sur la Terre est de transformer le monde en immense BORDEL." (Pierre Molinier)

Mais non ! Non ! Le silence gratte…ça gratte aux entournures, ça vous fait monter en pression.

Votre fils dévoué.


L’aube n’est jamais prête que de là-bas on voit la rive boueuse s’étendre.
Je m’étreins à… gisant de gris, d’un gris à fusiller tous les pastels du monde.
Je m’éteins, puis ranime la bougie, le croissant de lune .

L’idée, l’héroïsme, en Eden paraplégique.

Elle cambrée, le petit serpent sur son épaule. Il bouge, tressaute. Je le vois bouger. Désyntaxé.
Je réunis les liens qui nous désunissent.
Interview, interrogation écrite . Écrits , tu, tue, ballet-boots, singes, six, cinq songs.

Rubrique lue, brique, rougeurs.

J‘arrive. Mes souliers boitillent. Sa robe fusain. Elle, je soulève, je bruisse.
Perpétuité du mouvement de ses seins en se déplaçant, , relie le tracé de son pouce à mon index.
Dans sa bouche. Méthode brute, à six mille.

Black is back. Tortue-moi. Tout. Je veux. Je… hein ? Inspecteur.

CQFD, le cœur bandé, elle obéit au télégramme.
Maximum reboot. S’autant, se penche. Et son rire douloureux , en files de perles. Message.

Ah oui ! Non oui !

A l’envi, la meurtrir, formalités des frontières. Déplacement dépassé. Dépassement.
Porte B. Homme-cinéma, femme fractale , Venise sous la glace.
Muleta. Passe-passe. Anhélation dans la pénitence des effluves.
Cash-cash. Des battements. Mesure. Séance de sculpture. Déscrupule en papillotes .

Lucarne, ton imposture pause.

Quand nous fermentons la fixité et que nos regards tombent.
Qu’ils se meuvent comme des crachats animaux dans l’éternité.

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