22.5.09

L'asile du poète

Mer de soubresauts
Dit vagues
N’oublie pas d’être seul
Seul contre tous
Seul contre toi-même

Par le vitrail de l’abbaye
Un nuage apparaît
La mer fume des cigares


« Sous la ruine
Il y a des promontoires
Reste là à m’attendre
Ne va ni devant ni derrière
Sois l’objet de ta fin
Attends-moi ! »



« Attends-moi
A pieds reposés
Tes lèvres déposées
Aux miennes »


N’oublie pas d’être seul
Je t’accompagne

1 commentaire:

Etienne a dit…

Fait longtemps. J'aime bcp ce poeme. Je l'avais fait lire a une amie qui a aime aussi. J'espere que tu vas bien, bonhomme. Passe pour un cafe!